
Le soleil au zénith, je pataugeais tristement dans les 2 pouces survivants de ma nouvelle piscine. Évidemment, il y avait finalement une belle petite fuite et oh quelle surprise, elle n'était pas garantie. Aberration dont je vous entretiendrai peut-être un jour lorsque mon écoeurantite aiguë de tout ce qui touche les garanties se sera calmée.
Bref, pendant que ma copine redonnait un peu d'éclat à notre kit de patio multicolore à coup de teinture recyclée (il faut quand même préciser que j'avais resserré précédemment les boulons...), je marchais dans ma piscine vide afin de replacer les plis rebelles de notre toile nouvellement opérée. De ma position, j'avais une vue imprenable des voisins limitrophes. Assise par terre, ma copine avait une vue imprenable de notre non-gazon. De la position de mes voisins, j'étais seul dans ma cour à gambader inutilement dans une piscine sans eau. J'ignore si je faisais pitié à ce point ou bien on voulait cruellement me rappeler que je n'avais plus d'eau dans ma pataugeuse, mais une voisine et sa copine ont cru bon de me divertir un peu.
Comme dans les films Amaricains cotés 6 dans le Tv-Hebdo, elles se sont installées en bikini dans leur driveway, équipées d'une radio, d'un sceau d'eau mousseuse et d'une éponge. Et en me toisant du regard, elles se sont aspergées de mousse tout en se trémoussant sensuellement au rythme de la musique. Mais comme dans les films c'est là où on entendrait le bruit d'un disque qui dérape... elles n'avaient que 15-16 ans et elles avaient entrepris de nettoyer un vélo mauve.
Amusé, plus qu'excité, par le spectacle inattendu, j'ai informé ma copine du spectacle qu'elle manquait. Elle s'est relevée, à la grande surprise des 2 filles qui ont stoppé leur manège extrêmement gênées... Elles se sont réfugiées dans la cour arrière de la maisonnette, en évitant de croiser mon regard...
Dire qu'à cet âge-là dans mon jeune temps quand même pas si lointain, nous n'étions pas aussi sexualisés que cela... C'est fou comme les temps changent...
Hahaha !
RépondreEffacerC'est comme moi ca...quand le laveur de vitres venait chez nous, j'marrangeais pour être dans la pièce ou il lavait les fenêtres.
Bon, j'restais tout habillé (j'avais quand même de la pudeur...lol), mais j'tais quand même amoureuse..
lolllllllllllllll
Que de souvenir, je l'avais presque oublié celle-là.
En plus de cela, moi, j'me pensais bonne (mdr)....alors....je sympatise avec ta voisine et son amie :) C'est normal de fantasmer ! hihi
Trop drôle...j'en ris encore :)