30 premiers degrés de la période estivale dans ma petite banlieue. En fait, nous sommes encore au printemps, mais comme Mémère Nature semble s'être inséré les doigts dans sa machine à déclencher les orages, rien ne nous surprend.
Ma pelouse se détériore au même rythme que poussent les pissenlits devenus boules blanches allergènes. Je devrais leur couper l'envie de s'envoler à tout vent, mais je suis cloué au lit. Deuxième pneumonie de l'année 2007. Deuxième dans ma courte vie d'ailleurs. Je ne croyais jamais sortir de la première tellement je me sentais mal que disons que j'ai un tantinet craint celle-ci.
Pour l'instant, une nuit de température extrême m'a fait manqué les 2 belles journées de cette semaine. Et comme je reprends graduellement des couleurs, la météo n’annonce rien de moins que de la pluie pour accueillir mon retour parmi les vivants.
Soyez sans craintes, je vous reviens avec d'autres histoires juteuses dès demain!

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