Fin de semaine de première dans ma petite bourgade de fin de rang. Le soleil déployait ses rayons les plus fringants et moi je trempais mon orteil pour la première fois dans le trou d'eau qui fait office de piscine. Piscine qui soit dit en passant, occupe une grande partie de ma minuscule cour arrière. Fait à noter, les terrains de banlieusards ne sont pas toujours de grandeur olympique comme à l'ancienne. Ce qui n'offre pas que des désavantages, croyez-moi. La tonte de mon gazon (bon ce qu'il reste sous les pissenlits...) en est beaucoup moins longue. Donc, moins de niaisage avec le foutu fil d'extension relié à ma tondeuse électrique. Bon, le trou dans la couche d'ozone est probablement moins impressionnant au-dessus de ma maison.Revenons à la baignade. J'ai tout d'abord passé un avant-midi complet à installer la foutue échelle menant à la piscine. Je ne comprends toujours pas pourquoi les installateurs de piscine ne l'ont pas fait. Ils auraient dit à ma copine : « Ce n'est que 2-3 vis, ce n'est pas long". Foutaise ! D'autant plus que d'accrocher un poids de 50 livres sous un escalier sous l'eau et cela tout seul, c'est comme pas évident....
Pendant tout ceci, le soleil me picotait sournoisement le dos. Après quelques heures à me faire cuir le dos à “broil”, j'ai décidé d'aller m'asperger de crème 30. Résultat, quelques minutes ont suffi pour que mon dos rivalise avec le teint rougeâtre d'un homard surpris les pinces à l'air.
Que dire de plus que : “Ouch! Bobo!”
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